Un syndrome proche du diabète lié à l’exposition aux perturbateurs endocriniens ouvre une nouvelle piste dans la compréhension du déclin mondial des amphibiens


Au niveau mondial, un déclin massif des populations d’amphibiens est observé depuis les années 1980. Bien que suspectée comme une des causes directes, la pollution des zones humides par les perturbateurs endocriniens n’a jamais été clairement démontrée. En exposant de manière contrôlée un modèle d’amphibien à des concentrations environnementales de perturbateurs endocriniens, un consortium français conduit par des chercheurs de l’Université Grenoble Alpes et du CNRS (Laboratoire d’écologie alpine, Univ. Grenoble Alpes, Univ. Savoie Mont-Blanc, CNRS)

http://www2.cnrs.fr/presse/communique/5603.htm